"On ne fait jamais une société à partir d’un système. Une société quelconque est d’abord faite de son passé, de ses mœurs, de ses usages : ensemble de facteurs irrationnels contre quoi les idées théoriques s’acharnent." Claude Lévi-Strauss
Adresse et heures d'ouverture
Adresse : ancien foyer rural (rue du Canal d'Algues), 30460 Lasalle
Tél : 04 66 83 99 14
Heures d'ouverture : Lundi 10-12h, Mardi 16h-18h, Mercredi 10h-12h et 14-18h, Vendredi : 16h30 - 18h , Samedi 10-12h
Tél : 04 66 83 99 14
Heures d'ouverture : Lundi 10-12h, Mardi 16h-18h, Mercredi 10h-12h et 14-18h, Vendredi : 16h30 - 18h , Samedi 10-12h
Jeudi (fermeture pour travaux collectifs)
"Regardez le spectacle de ces murs : c'est comme une bibliothèque dans la montagne. Regardez une bibliothèque : c'est comme un mur et qui tient des choses capitales. Nous avons besoin de livres et de pierres" (Patrick Cabanel)
"À vrai dire, toute perception est déjà mémoire. Nous ne percevons pratiquement que le passé, le présent pur étant l'insaisissable progrès du passé rongeant l'avenir." (Henri Bergson)
"À vrai dire, toute perception est déjà mémoire. Nous ne percevons pratiquement que le passé, le présent pur étant l'insaisissable progrès du passé rongeant l'avenir." (Henri Bergson)
29.4.11
19.4.11
Mais qui est Gilles Weinzaepflen ?
"Si on n’a jamais autant employé le mot « poétique » que de nos jours, que deviennent la poésie et des poètes vivants ? Le film « La poésie s’appelle reviens » donne à voir et à entendre, les acteurs impliqués dans le maintien d’une activité de langage devenue malgré elle, souterraine. Une poésie qui se lit et se lie de plus en plus souvent, à d’autres modes de création. "Extrait de Scam
La poésie s'appelle revient
"Préférez-vous une voiture de sport ou la poésie une voiture de sport un week-end à menton ou la poésie un week-end à Menton passer une nuit avec jlo ou la poésie une nuit avec jlo fonder une famille ou la poésie fonder une famille vous pouvez aussi fonder une famille en poésie je répète la question préférez-vous fonder une famille ou la poésie fonder une famille en famille sans poésie si vous avez la poésie l'échangez-vous contre une forte somme d'argent je l'échange vous devez choisir entre un CDI et la poésie que choisissez-vous la poésie non le CDI petite hésitation j'en ai assez de vos questions et bien casse toi connard retourne à ton monde de brutes"Extrait d'un texte de Gilles Weinzaepflen paru dans Les cahier de Benjy
"Faire un geste : “Quelque chose vous distrait de l’infini de tuer, vous n’êtes pas responsable, distrait dans la gravité même de l’amour, je vise le cœur car c’est là qu’est la pompe, au signal je tire, j’appelle pas ça tuer, j’appelle ça viser, j’essaie de ne pas bouger, je retiens ma respiration, ne pas manquer la cible chers parents, j’attends votre petit paquet, ce sera une balle perdue si je bouge, n’oubliez pas le petit mot pour nénette, je tire, j’appelle pas ça tuer, j’appelle ça faire un geste.”Extrait de La lanterne magique
Mais qui est Gilles Weinzaepflen : poète, cinéaste, musicien ? Vous en saurez peut-être plus entre le 2 et le 4 juin, pendant Champ/Contrechamp... festival du court métrage de Lasalle.
15.4.11
Et ce mois-ci sont nominés par les lecteurs....
Le rire du Cyclope, Bernard Werber
Les champs d'honneur, Jean Rouaud
Erasme, Stéfan Zweig
Première lettre aux Corinthiens, Saint Paul
A l'amante, René Char
Tant la passion m'avait saisi, pour cette amante délectable
Moi non exempt d'épanchement et d'oscillante lubricité
Je devais, ne devais pas mourir en sourdine ou modifié
reconnu des seules paupières de mon amante.
Les nuits de nouveauté sauvage avaient retrouvé l'ardente
salive communicante et parfumé son appartenance fiévreuse.
Mille précautions altérées me conviait à la plus voluptueuse chair qui soit.
A nos mains un désir d'outre destin,
quelles craintes à nos lèvres demain.
Les champs d'honneur, Jean Rouaud
Erasme, Stéfan Zweig
Première lettre aux Corinthiens, Saint Paul
A l'amante, René Char
Tant la passion m'avait saisi, pour cette amante délectable
Moi non exempt d'épanchement et d'oscillante lubricité
Je devais, ne devais pas mourir en sourdine ou modifié
reconnu des seules paupières de mon amante.
Les nuits de nouveauté sauvage avaient retrouvé l'ardente
salive communicante et parfumé son appartenance fiévreuse.
Mille précautions altérées me conviait à la plus voluptueuse chair qui soit.
A nos mains un désir d'outre destin,
quelles craintes à nos lèvres demain.
Inscription à :
Articles (Atom)