Adresse et heures d'ouverture

Adresse : ancien foyer rural (rue du Canal d'Algues), 30460 Lasalle

Tél : 04 66 83 99 14

Heures d'ouverture : Lundi 10-12h, Mardi 16h-18h, Mercredi 10h-12h et 14-18h, Vendredi : 16h30 - 18h , Samedi 10-12h
Jeudi (fermeture pour travaux collectifs)

"Regardez le spectacle de ces murs : c'est comme une bibliothèque dans la montagne. Regardez une bibliothèque : c'est comme un mur et qui tient des choses capitales. Nous avons besoin de livres et de pierres" (Patrick Cabanel)
"À vrai dire, toute perception est déjà mémoire. Nous ne percevons pratiquement que le passé, le présent pur étant l'insaisissable progrès du passé rongeant l'avenir." (Henri Bergson)

24.3.12

Café-philo : Conscience & Bonheur


Mercredi 28 Mars 2012
A 19h00 au ‘café de pays’ de COLOGNAC
5 Km de Lasalle - 8 Km de Monoblet - 12 Km de St Hippolyte de fort - 17 Km d’Anduze

« La conscience est-elle un obstacle au bonheur ? Ou au contraire, le bonheur est-il un état de conscience ? Le bonheur : l’espace où la conscience est heureuse ? Le malheur : l’espace où la conscience est plongée dans l’affliction ? Quel est donc cet espace ? Où se situe-t-il ? Est-il hors de soi, cela implique que des circonstances doivent être réunies pour que nous puissions être heureux, ou est il intérieur et alors le bonheur est bien plus près de nous que nous que ne l’avons jamais pensé. La nature humaine est-elle à l’origine d’un paradoxe ? ‘Heureux qu’avant d’être heureux’ (Rousseau). »

Modérateur : patrick.bres3@orange.fr - 06 89 33 83 48
Le Café-philo de Colognac à lieu tous les derniers mardi du mois, sauf Juillet et Août.
Les thèmes sont décidés par les participants à chaque séance pour la séance suivante.

N’oubliez pas le ventre des philosophes : apportez quelques saveurs à déguster !

Marc Aurèle

Quelques citations à méditer :
« Rien de plus misérable que l’homme qui tourne autour de tout, qui scrute, comme on dit, « les profondeurs de la terre », qui cherche à deviner ce qui se passe dans les âmes d’autrui, et qui ne sent pas qu’il lui suffit d’être en face du seul génie qui réside en lui, et de l’honorer d’un culte sincère. » 
Marc Aurèle, Pensées pour moi-même.

« Conscience ! Conscience ! Instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d’un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rend l’homme semblable à Dieu, c’est toi qui fait l’excellence de sa nature et la moralité de ses actions. »
Rousseau, Émile ou de l’éducation.

« Par le mot de penser, j’entends tout ce qui se fait en nous de telle sorte que nous l’apercevons immédiatement par nous-mêmes ; c’est pourquoi non seulement entendre, vouloir, imaginer, mais aussi sentir, est la même chose ici que penser. » 
Descartes, Principes de la philosophie.

« La conscience, absolument parlant, est la relation du Je à un objet, soit intérieur, soit extérieur. Notre savoir contient, d'une part, des objets que nous connaissons par des perceptions sensibles, mais, d'autre part, des objets qui ont leur fondement dans l'esprit même. Les premiers constituent le monde sensible, les autres le monde intelligible. » 
Hegel, Propédeutique philosophique.

« Le mode de production de la vie matérielle domine en général le développement de la vie sociale, politique et intellectuelle. Ce n'est pas la conscience des hommes qui détermine leur existence, c'est au contraire leur existence sociale qui détermine leur conscience. » 
Marx, Contribution à la critique de l’économie politique.


"Nous regardons un bilan qu'on recherche pour lui-même comme plus parfait que celui qu'on recherche en vue de quelque autre; et celui qu'on ne peut jamais désirer en vue d'un autre comme plus complet que ceux qu'on désire à la fois pour eux-mêmes et comme moyen d'en obtenir d'autres, en un mot le bien parfait, ou absolu, est celui qu'on préfère toujours pour lui-même, et jamais en vue d'aucun autre.
Or le bonheur paraît surtout être dans ce cas: car nous le désirons constamment pour lui-même et jamais pour une autre fin, au lieu que la considération, la volupté ou le mérite, nous les désirons sans doute pour eux-mêmes (puisque, quand il n'en devrait résulter aucun avantage, leur possession nous paraîtrait encore désirable), mais nous les recherchons aussi en vue du bonheur, nous imaginant que nous serons heureux par leur moyen. Au contraire, personne ne recherche le bonheur en vue d'aucun de ces avantages, ni en général, de quelque autre bien que ce soit".
Aristote : le bonheur comme fin suprême, Ethique à Nicomaque, trad. Thurot, livre I, chapitre 4.

Pour aller plus loin, quelques adresses :
http://olivier.hammam.free.fr/imports/textes/boetie/servitude.htm#haut
http://www.dailymotion.com/video/xb4su5_y-a-t-il-un-droit-au-bonheur_webcam


19.3.12

Les Causses et les Cévennes, paysage culturel de l'agro-pastoralisme méditerranéen

Refusé une première fois en 2000, puis en 2006, puis en 2009, le dossier des Causses et des Cévennes a finalement été accepté au « Patrimoine mondial » de l'Unesco en juin 2011. C'est l'Association de Valorisation Espace Causses et Cévennes (AVECC), qui réunit toutes les particies prenantes (et elles sont nombreuses : deux régions, cinq départements, des établissements publics etc !), qui est chargée de sa mise en oeuvre.
  • Population concernée dans la zone : 20 847 habitants,
  • en « zone tampon » : 165 707 habitants
AVECC
A la lecture de ce dossier « Mémoire en réponse aux observations du comité du Patrimoine mondial » édité en janvier 2011, on mesure à travers l'argumentaire développé, les représentations sous-jascentes à ce classement, puisqu'il fournit un inventaire des « attributs » du territoire :
  • pour justifier la délimitation du « bien » (qui a fluctué selon les étapes de candidature),
  • et « fournir une base pour la gestion et le maintien des attributs, y compris les processus et les pratiques, liés à l'agro-pastoralisme ».

« L'agro-pastoralisme » est en effet devenu l' orientation unique du dossier de classement, après que les premières tentatives, d'ordre plus général, aient été « retoquées ».

La première partie, d'ordre géographique et descriptive, situe les Cévennes dans l'ensemble du « Bien » : de l'ordre d'1/4 de sa superficie totale, essentiellement les hautes Cévennes (Parc national des Cévennes : mont Lozère, vallée du Tarnon, mont Aigoual et Lingas). Les basses Cévennes sont assez marginalisées car la description est biaisée par le regard vers le territoire du Parc national des Cévennes : par exemple, les « Cévennes du granite » sont celles du mont Lozère et de l'Aigoual-Lingas. Du mont Liron et des vallées cévenoles granitiques il n'en est pas question : Lasalle (pourtant classée en « zone tampon » tout près de la limite de la zone inscrite qui englobe une partie de son territoire, et la rive droite de la Salindrenque quand elle traverse Lasalle), n'est même pas mentionnée. Le Vigan non plus, mais le Vigan n'est plus dans le périmètre proposé à la dernière étape du classement.

Plus intéressant, l'inventaire des « attributs majeurs de l'agro-pastoralime » est assez ouvert :
  • il est rappelé le rôle historique et culturel des activités agro-pastorales, développées surtout dans les derniers siècles du Moyen-Age (Xe au XVe) où le paysage des terrasses, des châtaignerais, des terres de parcours pour les troupeaux transhumants, des mas, hameaux et villages, se met en place sous une configuration qui durera jusqu'à l'époque moderne. La sériciculture n'est pas oubliée avec un siècle de « prospérité » (1750-1850), les plantations de mûriers, la restauration de la châtaigneraie, la modification du bâti... Les mines, elles-mêmes, font l'objet d'un (court) paragraphe : elles participent sans doute de l'agro-pastoralisme dans la mesure où le mineur est aussi paysan !
  • Vient ensuite une autre époque, le siècle (1850-1970) de la déprise rurale avec son impact sur le paysage.
  • Et enfin, la « renaissance » suscitée par la démarche des « néo-ruraux » qui renouvelera la réflexion collective en la dynamisant.

La « vision » de l'époque contemporaine est, comme toujours, plus difficile à appréhender : quand on a « le nez collé » sur le sujet, le recul manque pour en faire un récit audible. Mais on peut en retenir la place de l'Europe, sous l'angle de sa politique agricole et agri-environnementale, avec les « Mesures agri-environnementale », les « Contrats territoriaux d'exploitation », la « Prime herbagère agro-environnementale », les « Plans d'aménagements concertés » etc. Autant de dispositifs qui résonnent comme des mesures technocratiques et bureaucratiques mais qui sont actuellement le bras de levier d'une agriculture coordonnée, sur un territoire donné, pour obtenir de « bonnes pratiques » tout en s'assurant de la « viabilité économiques des élevages concernés. » C'est du moins ce qu'affirme le dossier.

Parc national des Cévennes
Les critères justifiant l'inscription sont loin d'être cantonnés aux attributs spécifiques de l'agro-pastoralisme (drailles, bornes, terrasses...) puisqu'on y trouve : chapelles, constructions paysannes ou savantes, éléments végétaux, systèmes hydrauliques, pratiques agronomiques et pastorales. Leur état n'est pas toujours satisfaisant (ex. de la châtaigneraie et de terrasses de culture) mais l'accent est mis sur les effort de restauration et de protection du patrimoine bâti vernaculaire et sur l'aide financière et technique aux démarches de planification de l'urbanisme.

Les pressions identifiées, qui s'exercent sur ce patrimoine, vont :
  • de « la demande de construction non traditionnelle » qualifiée de « relativement faible » (toujours le biais lié au territoire du parc national sans doute !!!) mais pouvant prendre de l'ampleur,
  • aux « éléments paysagers nouveaux » (bâtiment industriels et agricoles, centrales solaires, fermes éoliennes...),
  • aux « risques de fermeture du milieu » : embroussaillemenet lié au reflux des pratiques agricoles,
  • à l'abandon des petits ouvrages d'aménagement (par exemple destinés à gérer l'eau),
  • aux catastrophes naturelles (mouvements de terrain, inondations, feux de forêts),
  • jusqu'à la pression touristique dans certaines zones de concentration (gorges et cours d'eau).

Divers dispositifs de protection sont déjà en oeuvre sur le site concerné : le dossier énumère les monuments historiques, sites classés, parc national, parc naturel régional, arrêté de biotope, grands sites, loi Montagne, réserve de biosphère : Man and biosphère, zones Natura 2000 (oiseaux et habitats naturels)... Par exemple, sont concernées par la protection des habitats naturels : les vallées du Gardon de Mialet, du Gardon de Saint-Jean, du Galeizon... Parmi les ZNIEFF, et malgré plusieurs recherches, nous n'avons pas pu trouver la ZNIEFF de la Salendrinque (24 ha) alors que figurent la Znief des hautes vallées et affluents des Gardons (7,57 ha), la forêt du col d'Uglas (2,12 ha), les Abarines (0,87 ha), le Pic d'Anjau et le rocher de la Tude (0,40 ha). Rappelons que les Znieff sont des inventaires et non des mesures de protection.

Un chapitre est consacré aux objectifs de gestion du « Bien » classé au Patrimoine mondial (connaissance, sauvegarde, développement, médiation, gouvernance, formation). De nombreux organismes de gestion patrimoniale existant déjà sur le territoire, il n'en est pas créé un de plus mais « seulement » l'Association de valorisation Causses et Cévennes (AVECC) ou « mission technique », chargée de faciliter des pratiques de travail en commun sur le territoire, et la « Conférence territoriale », organisme décisionnel, qui définit les orientations de gestion. Sur la base de ces orientations, la mission technique travaillera avec les organismes en place, dont le Parc national des Cévennes. Les membres de la Conférence territoriale garantissent des engagements budgétaires pour leurs territoires respectifs en faveur de l'activité agro-pastorale. Parmi ces membres, le Parc national des Cévennes est le plus gros employeurs (95 personnes).

Des « indicateurs » de suivi de l'état de conservation sont définis :
  • nombre et répartition des activités agropastorales,
  • évolution des engagement financiers publics,
  • évolution de la fréquentation touristique,
  • indicateurs démographiques,
  • indicateurs d'état de la biodiversité et de maintien des caractéristiques paysagères.

C'est évidemment vers ces indicateurs que doit se tourner l'attention des collectivités territoriales soucieuses de ne pas « laisser passer le train » du patrimoine mondial : c'est de leur capacité d'initiative et de conviction que dépendra l'effectivité de l'action concertée autour des patrimoines vivants à sauvegarder et valoriser.

Nous remercions très vivement le Conseil général du Gard et plus particulièrement l'Office départemental du tourisme qui nous a rendu destinataire de ce dossier, malheureusement peu diffusé (400 exemplaires).

Le dossier de candidature a été réalisé en juin 2009 par le bureau d'études GRAHAL. Il est remarquablement illustré et cartographié et consultable, sur place, à la bibliothèque de Lasalle.

15.3.12

Caro galerie du Vidourle à Sauve




Enfin une artiste qui regarde les paysages urbains des Cévennes-Garrigues et qui les fait parler dans leur langue contemporaine.

12.3.12

Caverne d'Ali Bibliobus


Avec ses 158 lecteurs inscrits (dont une soixantaine d'enfants des écoles primaires), ses 17 bénévoles et ses 500 nouveaux ouvrages entrés en 2011, la bibliothèque de Lasalle affiche un certain dynamisme. Il en faut pour se projeter dans un avenir tout neuf avec le déménagement prévu cette année et l'ouverture de la médiathèque où DVD, CD et Internet viendront compléter l'offre classique de lecture. En attendant la date (non encore officielle) du grand bond en avant, le « traditionnel bibliobus » a fait une nouvelle apparition à la grande satisfaction des amateurs de lecture ! Il faut voir comment les yeux brillent devant cette « librairie » où l'on peut puiser sans limites ni contraintes ! On ne pense même plus qu'on n'aura pas le temps de lire « tout ça » :
  • romans de toutes catégories (poids plume, poids lourd, junior, sénior, sérieux ou drôle, à gros caractères ou de poche...) Tant de titres sont attractifs que c'est une vraie ivresse : biographies et mémoires, fantaisies, contes et science-fiction, littérature « noire » ou « rose », ruralité profonde ou modernité urbaine, mythes antiques ou pays éloignés !
  • Essais et documents : philosophie, spiritualité, politique, écologie, histoire contemporaine ou ancienne, « nos amis les bêtes », jardinage, cuisine, sports, informatique, voyages, randonnée...
  • Et aussi : des BD, des mangas, et de nombreux livres pour les enfants.
En prévision des prochains « Eco-dialogues du Vigan » consacrés cette année à l'eau, la bibliothèque de Lasalle commence à réunir, grâce à la Direction du livre du Gard, un rayon spécialisé : il va des « Suppliques au Vidourle » à la « Mémoire de l'eau de Ganges et des Cévennes ». Et ce n'est qu'un début.

8.3.12

Rivière de Salindrenque : ZNIEFF de type 1

La "Rivière de Salindrenque à Lasalle" est une ZNIEFF de type 1 (zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique) dont on peut trouver la cartographie sur le site du Muséum d'histoire naturelle 



Elle est référencée sur le site de la DREAL Languedoc-Roussillon qui explique ce que sont les ZNIEFF :
"Les ZNIEFF sont des territoires qui se singularisent par la richesse ou la spécificité de leur faune, de leur flore ou de leurs milieux dits « habitats naturels ». Elles délimitent les espaces naturels les plus précieux du territoire régional, en raison de leur biodiversité remarquable, protégée ou menacée.Il existe deux sortes de ZNIEFF :
Les ZNIEFF de type I sont des écosystèmes de haute valeur biologique, de superficie généralement limitée. Elles sont caractérisées par la présence d’espèces ou d’habitats naturels rares, remarquables ou typiques du patrimoine naturel régional, qualifiés de « déterminants ».
Les ZNIEFF de type II forment de grands ensembles naturels, riches, peu modifiés par l’homme ou offrant des potentialités biologiques importantes (massif forestier, vallée, lagune ...). Les ZNIEFF de type II renferment généralement une ou plusieurs ZNIEFF de type I.

Les ZNIEFF sont délimitées en fonction de l’intérêt patrimonial (espèces ou habitats), et de l’intérêt fonctionnel (entité pertinente pour le fonctionnement écologique : zone humide, bassin versant,...). "
S'agissant de la Salindrenque, une partie de son cours seulement (24 hectares) est classé notamment en raison de la présence d'espèces telles que l'Ecrevisse à pattes blanches ; de poissons comme : le Blageon, le Barbeau méridional ; d'Odonates (libellules : Cordulie à corp fin, Gomphe à crochet, Cordulegastre bidenté). Toutes ces espèces ont besoin d'eaux d'excellente qualité : vives, claires, bien oxygénées, ainsi que d'une rypisylve (arbres riverains) dont le maintien et l'entretien produit un « effet tampon » protecteur en périphérie des zones urbanisées.

Pour s'associer aux prochains Eco-dialogues du Vigan dont le thème est consacré à l'eau cette année, la bibliothèque va rechercher auprès de la Direction du livre et de la lecture des ouvrages (adultes ou enfants) sur ce thème.







5.3.12

Lasalle sur Cassini

Quelques données démographiques sur le village de Lasalle dans le magnifique site : " Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui " qui permet de visualiser une carte de la fin du XVIII" siècle et de mesurer l'évolution de la population lasalloise avec un pic entre les années 1831 et 1906 où la population dépasse 2200 habitants pour atteindre même allègrement 2541 habitants en 1861 ! Ensuite la décrue s'amorce doucement (242 habitants de moins dès la fin du XIXe siècle, 239 habitants en moins entre deux recensements à 5 ans de distances : entre 1906 et 1911 ! A se demander s'il n'y a pas un biais ou une erreur ?).  L'après-guerre (de 14) va doubler ce déficit avec 487 habitants de moins entre les deux recensements de 1911 et 1921... Après un premier étiage en 1975 (1018 habitants), la population se stabilise un peu puis redescend de nouveau  au minimum de 1007 habitants (1990). Actuellement elle repart légèrement à la hausse comme vous avez pu le voir dans le message "Lasalle et ses chiffres" ... avec 1080 habitants (en 2009) selon l'INSEE.




Cette évolution récente est due aux "apports extérieurs" car l'évolution "naturelle" est à la baisse (moins de naissances et plus de décès) depuis 1999 /
Statistiques officielles
Aussi est-ce avec un certain étonnement qu'on lit dans le Midi-Libre du 26 mars 2012 que la population de Lasalle aurait augmenté de 354 habitants en 4 ans (2008/2012) mais après regroupement des sources l'augmentation n'est que d'une soixantaine de personnes. Ce qui est déjà beaucoup !

Notons toutefois qu'en 2007 : 64 % des nouveau-venus avait aménagé depuis moins de dix ans  ! C'est donc une tendance récente (14 ans en moyenne).


1.3.12

Lire les Cévennes (3)

Milieux naturels exceptionnels
Parmi les très rares documents disponibles permettant d'aborder les Cévennes contemporaines, il y a l'Atlas (en ligne, 2002) du Parc national des Cévennes avec beaucoup de généralités sur les thèmes les plus divers du milieu naturel à la socio-économie (cf. sommaire).

Il y a aussi le site Internet du classement Unesco en juin 2011 par l'Association AVEEC (Causses et Cévennes).

Ou, bien sûr, les chiffres de l'INSEE par communes et cantons. Voir sur ce blog :
- Lasalle et ses chiffres,
- et l'ensemble sur le site de l'INSEE.

Merci à ceux qui s'intéressent à mieux comprendre le territoire actuel des Cévennes de nous faire part de leurs découvertes !