Fidèles au rendez-vous les lecteurs (ceux qui lisent...) étaient bien là avec leurs lectures !
Frédérique Hébrard, "Les châtaigniers du désert", ed. Plon (2005)
Robert Desnos, "Bon dieu de bon dieu que j'ai envie d'écrire un petit poème"
Cormac Mac Carthy, "La route", 2007
Dany Laferrière, "Tout bouge autour de moi" (Libé des écrivains du 17 mars)
Christine Montalbetti, "Quand la vague d'Hokusaï devient insupportable" (Libé des écrivains du 17 mars)
Extraits de la poésie japonaise classique et contemporaine
Katryn Otoshi, "What Emilie saw"
Victor Hugo, "Fable ou histoire" (attaque de Napoléon III, dictateur qui a mis fin à la 2e République)
Fabrice Hadjadj, "Les dieux et les hommes", Seuil, 2007.
Eugène Guillevic, "Art poétique", Gallimard.
"On ne fait jamais une société à partir d’un système. Une société quelconque est d’abord faite de son passé, de ses mœurs, de ses usages : ensemble de facteurs irrationnels contre quoi les idées théoriques s’acharnent." Claude Lévi-Strauss
Adresse et heures d'ouverture
Adresse : ancien foyer rural (rue du Canal d'Algues), 30460 Lasalle
Tél : 04 66 83 99 14
Heures d'ouverture : Lundi 10-12h, Mardi 16h-18h, Mercredi 10h-12h et 14-18h, Vendredi : 16h30 - 18h , Samedi 10-12h
Tél : 04 66 83 99 14
Heures d'ouverture : Lundi 10-12h, Mardi 16h-18h, Mercredi 10h-12h et 14-18h, Vendredi : 16h30 - 18h , Samedi 10-12h
Jeudi (fermeture pour travaux collectifs)
"Regardez le spectacle de ces murs : c'est comme une bibliothèque dans la montagne. Regardez une bibliothèque : c'est comme un mur et qui tient des choses capitales. Nous avons besoin de livres et de pierres" (Patrick Cabanel)
"À vrai dire, toute perception est déjà mémoire. Nous ne percevons pratiquement que le passé, le présent pur étant l'insaisissable progrès du passé rongeant l'avenir." (Henri Bergson)
"À vrai dire, toute perception est déjà mémoire. Nous ne percevons pratiquement que le passé, le présent pur étant l'insaisissable progrès du passé rongeant l'avenir." (Henri Bergson)
28.3.11
27.3.11
Indiscrétion
Claudel, Proust, Kafka, Faulkner, Hemingway, Kerouac, Nabokov, Rott, Morand, Malraux, Giono, Aragon, Sartre, Camus, Céline, Duras, Le Clézio : tous des auteurs "Gallimard" ! Cent ans de littérature (cf. Le Figaro) retracé par le film de William Karel, "Le roi lire", qui sera présent - croyons-nous savoir... - au prochain festival du court métrage de Lasalle "Point-Contrepoint".
16.3.11
14.3.11
Les droits du lecteur
Si vous voulez exercer simultanément votre droit "de lire à haute voix" et "de vous taire" (sic) vous en aurez l'occasion en venant à la bibliothèque à la "Lecture des lecteurs" vendredi 18 mars (18 h)
C'est Daniel Pennac qui a défini une savoureuse liste des "droits du lecteur" :
« Le droit de ne pas lire. »
« Le droit de sauter des pages. »
« Le droit de ne pas finir un livre. »
« Le droit de relire. »
« Le droit de lire n'importe quoi. »
« Le droit au bovarysme (maladie textuellement transmissible). »
« Le droit de lire n'importe où. »
« Le droit de grappiller. »
« Le droit de lire à haute voix. » - « Le droit de se taire. »
1.3.11
Inviter un écrivain
Des lecteurs nous proposent d'inviter, de temps en temps, des écrivains à participer à un débat public pour présenter leur dernier ouvrage paru, ou discuter autour de leur oeuvre.
Inviter des écrivains suppose les assurer d'un public minimum : même s'ils sont géographiquement proches, on ne peut pas les déplacer pour dix personnes ! Il nous faut donc imaginer qu'est-ce qui motiverait un lecteur à venir à ce type de rencontres.
Pour votre part, si vous aviez l'occasion de rencontrer un écrivain : de quoi lui parleriez-vous ? Qu'aimeriez-vous savoir ?
- Qu'on vous présente le personnage, l'oeuvre ?
- Créer des liens avec la réalité, avec d'autres créations littéraires ou artistiques ?
- Parler de la façon d'écrire (de la pratique de l'écriture, du style...) ?
- Autre chose ?
Vous imaginez-vous dans la situation d'Apostrophes (du temps de Bernard Pivot) ou de Denise Glaser (voici bien plus longtemps encore) discutant à bâtons rompus avec l'auteur d'un livre que vous avez lu ou que vous allez bientôt lire ?
Et qui inviter ? Peut-être un auteur en vacances dans la région, ou qui y vit à demeure, qui la connaît ou bien qui en fait le cadre de son récit ? Un auteur de littérature générale, régionale, d'essais, de biographies, de livres documentaires, de livres pour enfants ?
Peut-être un auteur et un éditeur (ou un libraire) ? Peut-on imaginer une "lecture publique" d'extraits de ses oeuvres (par lui même ou par un lecteur) ?
Vos réactions et propositions sont les bienvenues.
© Photos archives gallimard. A gauche, Jacques Rivière, Jean Schlumberger, Roger Martin du Gard et André Gide à l’abbaye de Pontigny en 1922. A droite, encore jeune, Gaston Gallimard.
En attendant vous pouvez aussi aller lire sur le site du Carré d'art de Nîmes le compte-rendu d'une formation consacrée justement à ça... : que faire (ou ne pas faire) lorsqu'on invite un auteur. Deux bibliothèques de la région étaient représentées (Alès et Privas).
Extraits :
Inviter des écrivains suppose les assurer d'un public minimum : même s'ils sont géographiquement proches, on ne peut pas les déplacer pour dix personnes ! Il nous faut donc imaginer qu'est-ce qui motiverait un lecteur à venir à ce type de rencontres.
Pour votre part, si vous aviez l'occasion de rencontrer un écrivain : de quoi lui parleriez-vous ? Qu'aimeriez-vous savoir ?
- Qu'on vous présente le personnage, l'oeuvre ?
- Créer des liens avec la réalité, avec d'autres créations littéraires ou artistiques ?
- Parler de la façon d'écrire (de la pratique de l'écriture, du style...) ?
- Autre chose ?
Vous imaginez-vous dans la situation d'Apostrophes (du temps de Bernard Pivot) ou de Denise Glaser (voici bien plus longtemps encore) discutant à bâtons rompus avec l'auteur d'un livre que vous avez lu ou que vous allez bientôt lire ?
Et qui inviter ? Peut-être un auteur en vacances dans la région, ou qui y vit à demeure, qui la connaît ou bien qui en fait le cadre de son récit ? Un auteur de littérature générale, régionale, d'essais, de biographies, de livres documentaires, de livres pour enfants ?
Peut-être un auteur et un éditeur (ou un libraire) ? Peut-on imaginer une "lecture publique" d'extraits de ses oeuvres (par lui même ou par un lecteur) ?
Vos réactions et propositions sont les bienvenues.
© Photos archives gallimard. A gauche, Jacques Rivière, Jean Schlumberger, Roger Martin du Gard et André Gide à l’abbaye de Pontigny en 1922. A droite, encore jeune, Gaston Gallimard.
En attendant vous pouvez aussi aller lire sur le site du Carré d'art de Nîmes le compte-rendu d'une formation consacrée justement à ça... : que faire (ou ne pas faire) lorsqu'on invite un auteur. Deux bibliothèques de la région étaient représentées (Alès et Privas).
Extraits :
"Pour ces rencontres, le choix d’un auteur peut se faire à partir de la nécessité de connaître l’œuvre, de la notion de désir, d’un projet d’équipe et d’un travail en relation avec les institutions – la Direction régionale des affaires culturelles, le Centre national du livre… peuvent être de bon conseil ; mais aussi en partenariat avec les éditeurs, avec lesquels les contacts directs sont souvent complices et amicaux (Martine Cribier).
Il peut se faire aussi à partir de l’importance de l’œuvre, de l’écriture, de la place de l’écrivain dans la création de l’époque, « être dans la langue qui s’invente aujourd’hui » (Jean-Gabriel Cosculluela). Il s’agit d’aller plus loin, d’emmener les lecteurs ailleurs, de faire lire, de faire découvrir, d’« agrandir les terres de lecture » (Jean-Gabriel Cosculluela)."
"Chacun percevait, à cet instant, quelle que soit sa profession, l’importance du temps, de la durée, des éléments primordiaux dans tous les aspects du travail autour de l’écriture et de ses acteurs. Les bibliothèques, comme les écrivains, les éditeurs et les libraires, se doivent de lutter contre la rapidité, l’urgence, la consommation immédiate."
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