V magnifique
dans le ciel de leur exil.
Elles laissent quelque chose après elles,
elles emportent quelque chose par-delà les nuages.
Pour cette beauté essentielle,
grâces vous soient rendues, oies
sauvages.
Car il a suffi d’une seule et unique lettre
dans le ciel démesurément gris
pour que, mieux qu’une bibliothèque
vous donniez corps à notre nostalgie.
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