"On ne fait jamais une société à partir d’un système. Une société quelconque est d’abord faite de son passé, de ses mœurs, de ses usages : ensemble de facteurs irrationnels contre quoi les idées théoriques s’acharnent." Claude Lévi-Strauss
Adresse et heures d'ouverture
Adresse : ancien foyer rural (rue du Canal d'Algues), 30460 Lasalle
Tél : 04 66 83 99 14
Heures d'ouverture : Lundi 10-12h, Mardi 16h-18h, Mercredi 10h-12h et 14-18h, Vendredi : 16h30 - 18h , Samedi 10-12h
Tél : 04 66 83 99 14
Heures d'ouverture : Lundi 10-12h, Mardi 16h-18h, Mercredi 10h-12h et 14-18h, Vendredi : 16h30 - 18h , Samedi 10-12h
Jeudi (fermeture pour travaux collectifs)
"Regardez le spectacle de ces murs : c'est comme une bibliothèque dans la montagne. Regardez une bibliothèque : c'est comme un mur et qui tient des choses capitales. Nous avons besoin de livres et de pierres" (Patrick Cabanel)
"À vrai dire, toute perception est déjà mémoire. Nous ne percevons pratiquement que le passé, le présent pur étant l'insaisissable progrès du passé rongeant l'avenir." (Henri Bergson)
"À vrai dire, toute perception est déjà mémoire. Nous ne percevons pratiquement que le passé, le présent pur étant l'insaisissable progrès du passé rongeant l'avenir." (Henri Bergson)
28.4.12
Que d'eau : randonnée 17-20 mai 2012
Le Fira de printemps : thème 2012, l'eau. Comme pour les Eco-dialogues du Vigan (9 au 13 mai) mais pendant le week-end de l'Ascension, du 17 au 20 mai, en même temps que le Festival documentaire de Lasalle.
Un documentaire / Une randonnée / Un documentaire / Une randonnée... Bon cocktail "la tête et les jambes".... Programme sur le Site du Fira. Et sur celui de ChampContrechamp.
25.4.12
CHA-BAL à Sauve
Cliquez ici pour en savoir plus sur l'exposition 2012 |
"CHA-BAL présente" est une association type loi de 1901 basée à Sauve depuis 2004. "CHA-BAL présente" dans ses expositions annuelles des sélections d'artistes de diverses tendances, rendant témoignage de la richesse et de la variété de la création artistique dans notre région du Languedoc-Roussillon. Pierre CHApon et André BALme.
23.4.12
Que veulent dire les mots ?
Café-philo du mardi 24 Avril 2012
A 19h00 au ‘Café de pays’ de COLOGNAC
« Est-ce que l’on se comprends lorsque l’on se parle ? S’il y a des mots pour dire, pour s’exprimer ou s’expliquer, des mots pour communiquer : que sont les mots ? D’où viennent-ils ? Si du cri naturel nous sommes passés aux signes institués, si ces mots sont symboliques et ont non seulement plusieurs sens mais ont aussi ces double faces, entre le réel et l’imaginaire, entre le signifiant et le signifié, entre le mot et la chose, entre le sensible et l’intelligible, cela ne simplifie pas la question. Et encore que dire de la puissance des mots, de ceux qui tuent et de ceux qui sauvent, du dicible et de l’indicible, du verbe créateur ?»
Jean-Paul Sartre a dit...
« Le désir s’exprime par la caresse comme la pensée par le langage. »
« Les mots boivent notre pensée avant que nous ayons eu le temps de la reconnaître. »
Ludwig Wittgenstein a dit...
« Ce qui peut être montré ne peut pas être dit. »
« Les limites de mon langage signifient les limites de mon propre monde. »
« La philosophie est une lutte contre la manière dont le langage ensorcelle notre intelligence. »
« Ce que nous ne pouvons penser, nous ne saurions le penser, donc nous ne pouvons dire que ce que nous saurions penser. »
Victor Hugo a dit …
« Attache un mot vengeur au flanc de tout un monde, et le monde, entraînant pavois, glaive, échafaud, ses lois, ses mœurs, ses dieux, s’écroule sous le mot. Cette toute-puissance immense sort des bouches ».
Et Gilles Guérin : "La planète raison"
Modérateur : patrick.bres3@orange.fr - 06 89 33 83 48
Le Café-philo de Colognac à lieu tous les derniers mardi du mois, sauf Juillet et Août.
Les thèmes sont décidés par les participants à chaque séance pour la séance suivante.
N’oubliez pas le ventre des philosophes : apportez quelques saveurs à déguster !
Le Café-philo de Colognac à lieu tous les derniers mardi du mois, sauf Juillet et Août.
Les thèmes sont décidés par les participants à chaque séance pour la séance suivante.
N’oubliez pas le ventre des philosophes : apportez quelques saveurs à déguster !
Pourquoi vient-on habiter la campagne ?
Excellent article de Guillaume Erner dans l'excellente émission de France Inter "Service Public" que vous pouvez encore écouter en ligne. Pourquoi les gens viennent-ils habiter à la campagne, parce qu'on peut (encore) y avoir l'illusion (?) de gouverner sa vie.
http://www.franceinter.fr/emission-service-public-l-hymne-de-nos-campagnes
http://bibliothequelasalle.blogspot.fr/2011/12/lasalle-et-ses-chiffres.html
19.4.12
Lire France Culture
"...3500 scientifiques, chercheurs, journalistes, écrivains, hommes politiques, artistes viennent chaque trimestre à l'invitation des 77 producteurs (de France Culture) nourrir les 2200 heures d'antenne de plus de 110 émissions et chroniques" (Jean-Michel Djian, rédacteur en chef)
France Culture a eu l'idée originale d'éditer "France Culture Papier" (Bayard) dont le 1e numéro est daté de ce printemps. Une radio c'est en effet un flux continu dont on ne capte que quelques bribes : si on est bien disposé et disponible ! Depuis l'invention du "Postcast" c'est un peu mieux, on peut télécharger et écouter à loisir. Mais écouter c'est donner du temps disponible en continu. Lire c'est choisir son rythme, d'intense à décousu, de dense à ... par bribes.
"L'objet-livre" est tout à fait dans le ton d'aujourd'hui : épais, aéré, illustré, très structuré. C'est un plaisir de le tenir en main !
Les rubriques aux dénominations quelque peu abstraites ne nous en disent pas beaucoup plus : "Transversales", "Thématiques", "D'hier à aujourd'hui"... Il faut picorer dans les titres pour retrouver le "ton", tout à fait à part dans le paysage audio-culturel français, de cette radio pas comme les autres, dont les contenus ne ressemblent pas du tout à ceux de la presse écrite (les fameux "News") et beaucoup moins "élitiste" qu'on ne le dit. Pourquoi ? Sans doute parce que l'oral oblige à communiquer, voire à penser en situation, par rapport au moment et à l'interlocuteur. Alors que l'écrit laisse l'auteur (le journaliste, le chroniqueur) face à lui même : "Ecrit, mon bel écrit, dis-moi que je suis le plus beau" !
France Culture Papiers par franceculture
Ecrémage subjectif :
- La solitude selon Henry David Thoreau (Walden) par Michel Granger, une expérience de "sobriété joyeuse" (*),
- Robespierre, bourreau et victime de la Terreur par Emmanuel Laurentin (La Fabrique de l'histoire) et Jean-Philippe Domecq (l'auteur de "Augustin Robespierre dit Robespierre le jeune" *),
- Jean-Luc Nancy, Dans quels mondes vivons-nous ? : "Nous sommes devant le monde comme devant un gros tas de tout, de galaxies, de machines, de nous, de langages",
- Pierre Rosanvallon et Paul Thiaud, La passion de l'égalité (Alain Filkielkraut) : "A la fin du XIXe siècle, au moment de ce qu'on appelle la première mondialisation... il y a trente millions d'Européens qui changent de pays... Le mouvement ouvrier et socialiste était lui-même très tenté par cette vision du protectionnisme ouvrier comme on l'appelait à l'époque" (Pierre Rosanvallon). Meirieu racontait qu'il avait été dans une classe de CE2 et que chacun réclamait le prof pour lui seul. L'instituteur galopait dans la salle pour calmer les uns, stimuler les autres, ou empêcher la bagarre d'éclater. On avait envie de lui dire : "Monsieur Meirieu vous avez voulu un enseignement pour les individus, vous l'avez... L'égalité a tendance à tout rapporter au personnel, alors que nous avons besoin de collectif (Paul Thibaud). La démocratie n'est pas simplement un régime de décision, mais un régime de la construction d'une expérience collective (PR). Le problème est de vivre en égaux, et pas simplement d'être des égaux au sens de personnes formatées, passées au moule, d'individus sériels" (PR).
- Caroline Eliacheff (Les idées claires) : "Ceux qui demandent si l'enfant sais ce qu'est la mort oublient un peu vite qu'eux-mêmes n'en savent rien, ce qui ne les empêche pas de penser".
- Philippe Meyer (Auditeurs sachant auditer...)
- Retour sur les révolutions arabes : "La Libye est comme la France d'avant 1789, un agrégat inorganisé de peuples désunis, unifié de façon un peu artificielle par l'hisotire : la domination ottmane, la colonisation italienne, l'instauration de la monarchie puis le régime de Kadhafi... Tous ces systèmes se sont surimposés à des sphères culturelles différentes..." (François Dumasy). "Avant on parlait de football, maintenant de politique... Les gens qui s'intéressent à la politique sont de moins en moins nombreux, certains sont fatigués, moi aussi je me sens fatiguée, parfois désespérée" (Henda). "Quand j'ai commencé à enseigner à l'université du Caire, il n'y avait pas une seule femme dans le département. Lorsque je l'ai quittée, elles représentaient 70 % des effectifs" (B. B-G)
- Le printemps de peuples, la propagation de la liberté, 1848 : Jean-Claude Caron... "après la révolution de février à Paris, qui mis à bas la monarchie de juillet, (l'Europe) parcourue de proche en proche par un magnifique frisson de bonheur et de liberté... illustré par un symbole printanier, la plantation des arbres de la liberté... Le mouvement part de France, puis touche l'Italie, l'Autriche, Budapest, Prague, Vienne".
... etc etc etc
Pour finir : il n'y manque que les voix ! Ces voix de chair et de son qui font le lien d'un individu à la sensibilité auditive de l'autre.
Les titres marqués d'un * sont disponibles à la bibliothèque de Lasalle, ainsi que "France Culture Papiers" bien sûr ! A consulter sur place (pour qu'il y en ait pour tout le monde). Bon printemps des peuples...
France Culture a eu l'idée originale d'éditer "France Culture Papier" (Bayard) dont le 1e numéro est daté de ce printemps. Une radio c'est en effet un flux continu dont on ne capte que quelques bribes : si on est bien disposé et disponible ! Depuis l'invention du "Postcast" c'est un peu mieux, on peut télécharger et écouter à loisir. Mais écouter c'est donner du temps disponible en continu. Lire c'est choisir son rythme, d'intense à décousu, de dense à ... par bribes.
"L'objet-livre" est tout à fait dans le ton d'aujourd'hui : épais, aéré, illustré, très structuré. C'est un plaisir de le tenir en main !
Les rubriques aux dénominations quelque peu abstraites ne nous en disent pas beaucoup plus : "Transversales", "Thématiques", "D'hier à aujourd'hui"... Il faut picorer dans les titres pour retrouver le "ton", tout à fait à part dans le paysage audio-culturel français, de cette radio pas comme les autres, dont les contenus ne ressemblent pas du tout à ceux de la presse écrite (les fameux "News") et beaucoup moins "élitiste" qu'on ne le dit. Pourquoi ? Sans doute parce que l'oral oblige à communiquer, voire à penser en situation, par rapport au moment et à l'interlocuteur. Alors que l'écrit laisse l'auteur (le journaliste, le chroniqueur) face à lui même : "Ecrit, mon bel écrit, dis-moi que je suis le plus beau" !
France Culture Papiers par franceculture
Ecrémage subjectif :
- La solitude selon Henry David Thoreau (Walden) par Michel Granger, une expérience de "sobriété joyeuse" (*),
- Robespierre, bourreau et victime de la Terreur par Emmanuel Laurentin (La Fabrique de l'histoire) et Jean-Philippe Domecq (l'auteur de "Augustin Robespierre dit Robespierre le jeune" *),
- Jean-Luc Nancy, Dans quels mondes vivons-nous ? : "Nous sommes devant le monde comme devant un gros tas de tout, de galaxies, de machines, de nous, de langages",
- Pierre Rosanvallon et Paul Thiaud, La passion de l'égalité (Alain Filkielkraut) : "A la fin du XIXe siècle, au moment de ce qu'on appelle la première mondialisation... il y a trente millions d'Européens qui changent de pays... Le mouvement ouvrier et socialiste était lui-même très tenté par cette vision du protectionnisme ouvrier comme on l'appelait à l'époque" (Pierre Rosanvallon). Meirieu racontait qu'il avait été dans une classe de CE2 et que chacun réclamait le prof pour lui seul. L'instituteur galopait dans la salle pour calmer les uns, stimuler les autres, ou empêcher la bagarre d'éclater. On avait envie de lui dire : "Monsieur Meirieu vous avez voulu un enseignement pour les individus, vous l'avez... L'égalité a tendance à tout rapporter au personnel, alors que nous avons besoin de collectif (Paul Thibaud). La démocratie n'est pas simplement un régime de décision, mais un régime de la construction d'une expérience collective (PR). Le problème est de vivre en égaux, et pas simplement d'être des égaux au sens de personnes formatées, passées au moule, d'individus sériels" (PR).
- Caroline Eliacheff (Les idées claires) : "Ceux qui demandent si l'enfant sais ce qu'est la mort oublient un peu vite qu'eux-mêmes n'en savent rien, ce qui ne les empêche pas de penser".
- Philippe Meyer (Auditeurs sachant auditer...)
- Retour sur les révolutions arabes : "La Libye est comme la France d'avant 1789, un agrégat inorganisé de peuples désunis, unifié de façon un peu artificielle par l'hisotire : la domination ottmane, la colonisation italienne, l'instauration de la monarchie puis le régime de Kadhafi... Tous ces systèmes se sont surimposés à des sphères culturelles différentes..." (François Dumasy). "Avant on parlait de football, maintenant de politique... Les gens qui s'intéressent à la politique sont de moins en moins nombreux, certains sont fatigués, moi aussi je me sens fatiguée, parfois désespérée" (Henda). "Quand j'ai commencé à enseigner à l'université du Caire, il n'y avait pas une seule femme dans le département. Lorsque je l'ai quittée, elles représentaient 70 % des effectifs" (B. B-G)
- Le printemps de peuples, la propagation de la liberté, 1848 : Jean-Claude Caron... "après la révolution de février à Paris, qui mis à bas la monarchie de juillet, (l'Europe) parcourue de proche en proche par un magnifique frisson de bonheur et de liberté... illustré par un symbole printanier, la plantation des arbres de la liberté... Le mouvement part de France, puis touche l'Italie, l'Autriche, Budapest, Prague, Vienne".
... etc etc etc
Pour finir : il n'y manque que les voix ! Ces voix de chair et de son qui font le lien d'un individu à la sensibilité auditive de l'autre.
Les titres marqués d'un * sont disponibles à la bibliothèque de Lasalle, ainsi que "France Culture Papiers" bien sûr ! A consulter sur place (pour qu'il y en ait pour tout le monde). Bon printemps des peuples...
16.4.12
Concentrés mais souriants : c'est la bonne distance pour écouter lire
LECTURES DES LECTEURS DU 16 MARS 2012-03-11 |
Quelques pistes pour rejoindre les lecteurs dans leurs imaginaires (ou concrètement au prochain rendez-vous le vendredi 20 avril à 19 h) : voici les oeuvres "partagées" le 16 mars 2012.
L'AVENTURE DE MOTS FRANÇAIS VENUS D'AILLEURS, Henriette Walter
C'EST MOI LA VERITE Pour une philosophie de christianisme Michel Henry
Un texte "in extenso" pour la bonne bouche :
LES CARNETS SECRETS DE LI YU (Lettré chinois du 18e siècle)
C'EST MOI LA VERITE Pour une philosophie de christianisme Michel Henry
L'HOMME REVOLTÉ, Marcel Camus
Comme vous le voyez, tout le monde ne lit pas forcément quelque chose : on peut aussi venir pour écouter, bavarder, voire partager un petit en-cas préparé de main de maître !
Comme vous le voyez, tout le monde ne lit pas forcément quelque chose : on peut aussi venir pour écouter, bavarder, voire partager un petit en-cas préparé de main de maître !
Venez en personne vous rendre compte
le 3e vendredi du mois d'avril : le 20 à 19 h
à la bibliothèque 116 rue de la gravière à Lasalle !
Bienvenue à ceux qui écoutent comme à ceux qui lisent !
Un texte "in extenso" pour la bonne bouche :
6 MILLIARD D’AUTRES Yann
Arthus-Bertrand
1°) Que voulez-vous transmettre à
vos enfants ?
OLIVIER vit en France ; « ………..
Nos enfants sont éduqués, avant tout, par la société et
pas par nous, mais j’essaie de leur transmettre les valeurs que je
considère importantes…….. »
MOHAMED vit au Mali : «… que
nos enfants tiennent compte de l’éducation familiale et ne se
noient pas dans le modernisme…. »
HAOYU vit en Chine : « …je
n’ai rien appris de mes parents, comme tous les enfants en Chine en
général. Il y a beaucoup de choses que l’on apprend seul… »
LAURENCE vit en GB :
« …ce que j’ai appris de mes parents c’est de
désapprendre ce qu’ils m’avaient appris, c'est-à-dire je me
suis rebellée contre les principes bourgeois qu’ils m’avaient
inculqués…. »
THOMAS vit en Bolivie :
« …je ne veux pas que mes enfants souffrent comme moi en tant
qu’ouvrier travaillant à la mine. Je veux que mes enfants ne
dépendent que d’eux-mêmes… »
ZAHRA vit dans les territoires
palestiniens : « …j’éduque mes enfants
pour l’amour et le respect de l’Homme… »
JOHAN vit en Suède :
« …il faut transmettre à ses enfants la confiance en soi et
le sentiment que l’on est bien comme on est… »
2°) Pardonnez-vous facilement ?
MAJJI vit en Tanzanie :
« …oui je pardonne et ainsi je n’ai pas d’ennemi… »
MICHEL vit en France :
« je ne pardonne pas à ceux qui me trahissent et je les
élimine de mes fréquentations… »
MAMADOU vit au Mali :
Parmi nous, il y a des anciens chargés de réconcilier les gens .
Ils organisent une rencontre pour sceller le pardon, puis se serrer
la main… »
NOORI vit au Kenya :
« … je pardonne facilement car je veux aussi être
pardonnée… »
NICOLAS vit à Los Angeles USA :
« … je considère que durant ma vie j’ai blessé certaines
personnes aussi il y aura toujours une chance de pardon avec moi… »
YVONNE vit en France :
« …il est facile de pardonner de petites choses mais quand on
est vraiment meurtri, c’est comme une blessure qui reste il faut
prendre du temps… »
SAKIKO vit au Japon :
« …quand quelqu’un te fait quelque chose de mal écris-le
dans le sable. Quand quelqu’un te fait quelque chose de bien grave
le dans la pierre… »
3°) Pour vous, quel est le sens de
la vie ?
GRACIELA vit en Argentine :
« …Qu’aucun enfant ne pleure de faim… »
YASMINA vit en Algérie :
Elle cite un philosophe italien « l’Homme a trois étapes :
naître, vivre et mourir. Il ne se sent pas naître, il oublie de
vivre, il souffre à mourir….. »
JULIANA vit à Los Angeles USA :
« … le sens de la vie c’est l’amour : pour la
famille, ses amis, son partenaire… »
KAHANA vit en Ethiopie :
« …travailler dans les champs, aller d’un endroit à
l’autre pour trouver de la nourriture… »
ESEFA vit en Bosnie Herzegovine :
« …ce sont mes enfants… »
ERIK vit à Cuba :
« …c’est se battre pour tout… »
LUCIE vit en France :
« …c’est faire de l’humanitaire… »
ATO vit à Changaï Chine :
« …le sens de ma vie de profiter de tous les sens de la vie
–ici et maintenant-… »
CONCLUSION 6 milliard d’autres à
travers 5000 portraits démontre que l’humanité est constituée de
mille facettes. Chaque individu raisonne en fonction de son vécu, de
son environnement, de ses sentiments. Le tout mis ensemble fait le
tissu de l’humanité universelle.
13.4.12
Oiseaux des Cévennes
Sortie ornithologique à Lasalle, accompagnée, illustrée et commentée par Victor Cazalis. De l'usine Paulhan au pont de fer et au chalet de la Maillerie, de là au pont vieux puis au chalet de Cornély et au bosquet du Souvenir... Pinsons des arbres, mésanges, bergeronnettes, cincle plongeur, corneilles, buse etc se sont prêtés au jeu. Ecouter et/ou voir : selon les saisons on entend davantage les chants, comme en ce moment au printemps, ou on voit davantage les oiseaux, comme en hiver quand il n'y a pas de feuilles aux arbres. Mais c'est toujours une découverte d'un autre monde présent dans le nôtre avec l'étonnante variété de ses formes et de ses chants. Quant à les identifier ce n'est jamais facile bien qu'il y ait là une sorte de jeu ! D'autres sorties seront proposées (voir le calendrier des animations sur le site de Lasalle).
4.4.12
On a retrouvé l'histoire de la France
Une nouvelle façon de relire l'histoire |
2.4.12
Ce soir à l'Ecole des mines d'Alès, Alexis Jenni
A 20 h 30, l’École des Mines d’Alès recevra un invité de marque : Alexis Jenni, l’auteur de “L’Art français de la guerre” qui animera une conférence. Professeur de Sciences naturelles il a reçu le prix Goncourt 2011.
Si vous ne regardez qu'une seule vidéo, choisissez la 2ème : la première n'est qu'une information du JT.
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