«A tout pichet miséricorde», et son
corollaire : «Chasser le naturel, il revient au goulot »… On peut
compter aussi sur «Avoir pognon sur rue» qui caractérise les
propriétaires aisés, «Rire à gorge d'employé», ou même «Le
joug le plus long» pour un mariage qui s'éternise. «Une conférence au
sommier», ouvre un champ libidineux, comme aussi cette parodie :
«Par ici la bonne souple», laquelle porte au fou rire en évoquant
une employée de maison singulièrement docile, voire acrobatique !" Le Figaro vous en dit plus ici.
Deux nouvelles où : "Dostoïevski remet bien en cause l' empire de la raison qui commence à s'instaurer, cette prétention « moderne » à vouloir maîtriser le monde. Et il est surprenant de voir un auteur ridiculiser ainsi de manière prémonitoire, en 1864, cette croyance au progrès, à l'avènement d'un monde et d'un homme meilleur. Il affirme avec force l'infinie complexité de l'homme dont la satisfaction des seuls besoins matériels , ni même des seuls intérêts, ne suffira jamais à conduire au bonheur, tant est grande la part d'inexplicable, d' imprévisible, chez chaque individu et irrémédiable la pérennité du mal." Des extraits sur le blog "L'or des livres".
Un roman récemment porté à l'écran par son propre auteur : "La délicatesse" (David Foenkinos)
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