Adresse et heures d'ouverture

Adresse : ancien foyer rural (rue du Canal d'Algues), 30460 Lasalle

Tél : 04 66 83 99 14

Heures d'ouverture : Lundi 10-12h, Mardi 16h-18h, Mercredi 10h-12h et 14-18h, Vendredi : 16h30 - 18h , Samedi 10-12h
Jeudi (fermeture pour travaux collectifs)

"Regardez le spectacle de ces murs : c'est comme une bibliothèque dans la montagne. Regardez une bibliothèque : c'est comme un mur et qui tient des choses capitales. Nous avons besoin de livres et de pierres" (Patrick Cabanel)
"À vrai dire, toute perception est déjà mémoire. Nous ne percevons pratiquement que le passé, le présent pur étant l'insaisissable progrès du passé rongeant l'avenir." (Henri Bergson)

23.5.13

Nouveaux ouvrages à la médiathèque (1)

Depuis le début de l'année, l'Association des amis de la bibliothèque-médiathèque a acheté une cinquantaine d'ouvrages neufs mis à la disposition des lecteurs : 30 destinés aux adultes, 24 pour les jeunes. Nous allons vous en présenter quelques titres, petit à petit, au fil des messages... 

Et d'abord, la célèbre trilogie d'EL James (celle qu'on se passe sous le manteau...) :
  • "Cinquante nuances de Grey"
  • "Cinquante nuances plus sombres"
  • "Cinquante nuances plus claires".

En savoir plus
Quelques romans d'actualité chez Actes Sud :

  • Rue des Voleurs (Mathias Enard) - Nouvel Observateur : « Il a su capter l’air du temps. On le lit et tout est juste. Rue des voleurs mérite d’être mis en avant, car il fait impeccablement comprendre la situation des migrants. Il y a quelque chose de très beau dans ce livre
  • La tristesse du Samo (Victor del Arbol) - Prima : « Jouant entre passé et présent, l’auteur tisse une intrigue qui touche plusieurs générations dans l’Espagne de l’après-guerre, ensuite soumise au franquisme. »
  • Prince d'orchestre (Metin Arditi) - "Roman haletant, parcours exalté, bouleversé par les véhémences de la musique, Prince d’orchestre est aussi une réflexion sur la part d’imprévisible que contient toute existence, sur la force du hasard et les abîmes de la fragilité humaine, sur les souffrances que convoque, apaise, et souvent transcende l’inépuisable fécondité de l’art."
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La suite au prochain numéro...


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