"Si on voulait jouer à créer des liens entres les oeuvres offertes à l'écoute attentive des lecteurs, on pourrait imaginer, deux par deux :
Deux ouvrages sur l'enfance et la relation, parfois tendue, à l'apprentissage et à l'école :
FRANCOIS CERVANTES "La table du fond" et ERIK ORSENNA "La grammaire est une chanson douce".
Deux "Giono" pour l'élan vers le bonheur qui l'anime à travers les difficultés et même le pessimisme :
JEAN GIONO "La chasse au bonheur" et "Que ma joie demeure".
MARIO RIGONI STERN "L'année de la victoire" - PAUL AUDI "Picasso, Picaro, Picador ; portrait de l'artiste en surmâle" : deux ouvrages traitant de l'énergie qui transfigure la vie, l'un lorsqu'elle reprend son cours après la guerre, l'autre dans la démarche de création.
Deux visions, très éloignées l'une de l'autre, du "Sacrifice d'Isaac" :
par WOODY ALLEN (avec son humour irrésistible) et ERRI DE LUCA dans "Noyau d'olive"
Un franc-parler venu d'un autre siècle dans les "Lettres d'Isabelle de Bourbon Parme" par E. BADINTER et une écriture d'une causticité assassine : AMBROISE BIERCE dans "Le dictionnaire du diable".
Enfin, une poétesse contemporaine, parmi nos voisines (St Hippolyte du Fort) : ANNE MARIE LEONARD "Au creux de nos mains".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Les commentaires sont désormais ouverts à tous sans inscription : essayez !